La sélection 2025
du Prix du premier roman des lecteurs
de l’estuaire de Vilaine

Les bouchères

LES BOUCHERES
Sophie Demange (L’iconoclaste)

À Rouen, impossible de manquer la devanture rose des Bouchères. Depuis la rue, on peut entendre l’aiguisage des couteaux, les masses qui cognent la viande et les rires des trois femmes qui tiennent la boutique. Derrière le billot, elles arborent fièrement leurs ongles pailletés et leurs avant-bras musclés. Mais elles seules savent ce qui les lie…

Un roman noir explosif et jubilatoire où chaque page se dévore jusqu`au final !

MONT DES OURSES
Emilie Devèze (Editions du Sonneur)

Hazel, adolescente solitaire, vit une existence nomade au gré des affectations de son père, un gendarme strict et autoritaire. Ils sont à peine arrivés à Ici qu’ un meurtre est commis. Face à la pauvreté d’esprit et au masculinisme exacerbé des habitants, Hazel décide de mener sa propre enquête.
 
Le récit inclassable de l’émancipation d’une jeune fille.
Mont des Ourses
La saison du silence

LA SAISON DU SILENCE
Claire Mathot (Actes Sud)

Le temps d’un hiver absolu qui fait de leur village une île isolée, la danse de vie et de mort des habitants d’un monde où chacun se définit entièrement par son Occupation. Dans l’effacement des individualités, la lutte pour tenir sa place cristallise les liens, les  conflits, les élans.

Un conte fascinant sur notre incapacité à voir, à penser l’autre et l’ailleurs, et sur l’irrésistible appel de la liberté.

LA MER EST UN MUR
Marin Postel (Phébus)

 » Et c’est peut-être avec l’un de ces sourires narquois, l’une de ces plaisanteries faciles partagées autour d’un verre pris légèrement trop tôt, qu’un jour Antoine a décrété que sa place était ici. Il a cru, lui aussi, qu’il était fait d’un meilleur bois. »

Premier roman mélancolique, La mer est un mur est une étincelante partition sur la construction d’un garçon, sur une île où deux mondes s’opposent.

La mer est un mur
La vie ossecaille

LA VIE OSSECAILLE
Léna Vathy (Noir sur Blanc)

« J’ai été nommée à Taipei. Je ne croyais pas si bien dire. Une douce chaleur vient dissiper un peu mes brumes. Au milieu de l’hiver taipéien, on m’a appelée Été. »
 
La vie ossécaille, c’est le récit de la quête de Xia, qui ne s’appelle pas vraiment Xia, pour se reconstruire à travers les fragments d’un nouveau langage.
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